
La Polynésie française est un pays d'outre-mer de la République française, composé de cinq archipels, soit un total de 118 îles dont 67 habitées, situé dans le sud de l'océan Pacifique, à environ 6 000 km à l’est de l’Australie : l'archipel de la Société avec les îles du Vent et les îles Sous-le-Vent, l'archipel des Tuamotu, l'archipel des Gambier, l'archipel des Australes et les îles Marquises. Elle inclut aussi les immenses espaces maritimes adjacents5. La Polynésie Française comptait 259 706 habitants au 20 août 20011, ce qui représente moins de 0,5 % de la population de la France, mais 10 % de la France d'outre-mer et un tiers de la population des collectivités d'outre-mer.
On peut distinguer trois communautés ethniques principales :
les Polynésiens : 78 %;
les Européens : 12 %;
les Asiatiques (pour la plupart Chinois): 10 %.
Nous voilà arrivé sur le sol polynésien, nos bagages récupérés, nous avons hâte de franchir la porte des arrivées pour voir à quoi ressemble notre hôte d'acceuil. C'est fait, elle est là appuyé contre un poto, super souriante, elle se dirige vers nous avec des colliers de fleurs très parfumées, on pense que le séjour va bien se passer. Les bonjours fait nous voilà partit dans son mini 4x4 direction la maison de poupée où l'on va résider durant notre séjour.
Premier réveil, nous voilà partit tout les trois pour le centre de Papeete pour faire deux ou trois courses, manger un bon poisson cru à la Tahitienne le midi, puis direction la plage pour notre premier bain. Un vrai plaisir de retrouver ces lagons et ces températures super agréable, bref direction la maison pour une douche car ce soir nous sommes déjà attendu par Christelle dans une superbe villa qu'elle garde et qui surplombe l'île.
Nous n'étions pas déçu à notre arrivé. Finalement on resta tout le week-end à faire apéro sur apéro, ce qui nous allait très bien à mon Milou et Moi. Le troisième jours nous sommes partit en session bateaux à la rencontre des baleines à bosse (Gui eu même l'occasion de nager avec), l'atmosphère humide et chaude, les couleurs du lagon, le spectacle de ses gros mammifères pour un début dès plus prometteur.
L'intégration était faites, nous organisions nos cinq semaines à venir avec l'aide de Ambre et le lundi matin c'était parti pour les réservations chez Air Tahiti.
La première semaine a été à la fois dure car il fallait prendre ce rythme tout nouveau pour nous (levé à 5h45 pour déposer Ambre au taf et enchaîner les activités), mais également très excitante car ici tu n'a qu'à ouvrir tes sens pour être enjoy toute la journée et c'est donc facile.
Durant cette première semaine on fera le tour de l'île et de la presqu'île de Tahiti, en découvrant ou redécouvrant pour Gui, les arrêts culte sur la route tel que : les trois cascades, le trou du souffleur, les Maraes, les trois grottes, le légendaire spot de surf de Teahupo, ainsi que les coins de lagon isolé, les points de vu époustouflant et cette flore tout simplement magnifique en couleurs.
Premier bain sur les plages de sable noirs, ou un Pt vieux dit à mon Milou qu'un petit requin venait dire bonjour juste à côté, histoire de la rassurer et là ou les polynésien venaient s'entraîner pour la grande course de pirogue qui se tenait dans quelques jours. Le décor et le scénario était là !!!!
On passa par des endroits que je te raconte pas, plein de boue, transpirant au possible, se faisant bouffer par les moustiques, une chose était sure, c'était pas une rando de P.D. Bref après trois heures trente d'efforts physique en tout genre, on fini par atteindre non pas les putains de glissade d'eau naturelle, comme on te le vend au départ, mais une cascade, soit très belle, mais posé là, au beau milieux de la jungle et nous mort de chez mort.
Après l'effort le réconfort, alors pic-nic en bas de la cascade avec les moustiques, en réfléchissant à notre retour qui promettait une grosse grosse galère, tout en tenant compte de l'orage qui menacé au dessus de nos tête. Bon repas pris, nous répriment le chemin du retour (Enfin on dira plus le parcours du combattant). Nous avions deux options, retrouver les brindilles casser (office de balise façon locale) ou suivre la rivière (ce qui promettez une belle galère )pour rejoindre la fin du parcours. Après des heures intenses d'acrobatie, d'équilibre, d'escalade nous étions bloqué au milieu d'un gros cour d'eau et de deux parois de roches qui ornés la rivière (impossible de passer avec les sacs et appareils, aucun échappatoire s'offrait à nous).Peu à peu un air désespéré se dessiné sur nos visages car la simple balade en forêt se transforma en mission commando, il fallait une solution avant la nuit.
L'orage c'est donc abattu sur nous et là c'est partit pour grimper des parois escarpés, boueuses, voir impraticable dans cette jungle plus que dense. Finalement par chance on retomba sur le sentier soit disant balisé, mais nous étions à la fin du parcours. Pour résumer notre marche aura durée 6h au lieu de 3h, nos jambes étaient écorchés, nos visages sales, nos baskets trempées pleines de boue et nous tout simplement exténué. Qu'on ne nous parle plus de randonné, Tahiti c'est une destination pour se la couler douce sous le soleil au bord du lagon (direction la plage NOW).
Levé au aurore, ont se mit en route pour rejoindre l'île voisine. Des petits yeux mais le sourire jusqu'aux oreilles puisque Gui est ravi de revivre les doux souvenirs de Moorea c'est pourquoi on dormira aux bungalows de l'Hibiscus et mangera à l'Iguane comme il y a dix ans. On pris le bus local, on aime bien se terme car il englobe toute une atmosphère : ils n'ont pas d'horaire, encore moins de point d'arrêt fixe, et il y fait très chaud, mais la musique est bonne.
Durant notre week-end on resta entre deux Hôtels de luxes "le Sofitel, la plage de Temae et le Beachcomber "car il bénéficies des plus beaux lagons, de larges plages aux sables blanc, ainsi que des piscines à débordement, de véritables cartes postales où l'on adoré flâner.
Ces deux jours passé, on repris le ferry (Arimety 5) de 3h 30 pour rejoindre Papeete où on nous attendais en semi-rigide avec tout l'équipe à son bord dont Ambre, pour un apéro Sunset sur le lagon (un vrai moment de bonheur et de rigolade).
Apéro fini, direction la maison pour prendre une douche, puis rejoindre une autre équipe au bar Utéuté, car nous sommes vendredi soir et chaud chaud chaud. Petit repas aux roulottes, digestion faites, gros coup de barre donc décision prise, on rentre se coucher. Le lendemain petite journée tranquille dans le centre ville et sieste avant la grosse soirée qui nous attendait. Douche prise, frais comme des gardons, nous voilà partit tout les trois direction le concert de Yannick Noah (Ouah !!!!) petite fiole de Rhum à la main, Tintin.
En vue des aprioris, concert très sympa, mais pas question de traîner, car une autre soirée nous attendait à la Casa-Blanca pour y voir bien sûr la finale de la World cup de Rugby France-All blacks (Que l'on perdit 8-9 à notre grand désespoir), ainsi que fêter l'anniversaire de trois pots à Ambre. Trois heures trente du mat direction l'aéroport pour y acceuillir Valé et Gillou (Ami de Ambre), un grand moment, car comme vous l'imaginez, nous n'étions pas très frais...(Mais nous avons quand même participé à leur installation).
Le lendemain matin fut très difficile au réveil (Petit mal de tête, on se sentait comme des éponges trop imbibées), mais let's go pour la Pyrogue où une journée célibataire nous attendait sur le lagon, en réalité c'est un concentré de jeunes venant faire l'apéro en continu, déguster un barbeuc, tout en musique sous les UVs puisque il y a absence de couche d'ozone(merci les essais nucléaires).Grosse journée de détente et amusements en tout genre en ce dimanche.
Lundi matin, levé très très tôt, c'est à dire 4h45 pour notre départ à Roututu (Rurutu) petite île des Australes à 3hoo de vol, donc autant que les loulous après la journée du dimanche n'était pas très frais. Arrivé à Rurutu pour notre séjour de 5 jours et 4 nuits, un drôle d'individus nous attendait, c'est à dire du genre très local (sauvage, ne sachant pas très bien communiquer et aux habits rudimentaire avec une hygiène qui laissé à désirer), direction notre Fare* d'acceuil Teautamatea à 3 kms de là, à l'arrière d'un pick-up des années 50, en avanti les Popas*!!!!
Le Fare était super joli, propre, ainsi que notre chambre faite en bambou avec beaucoup de tressage locaux et coquillages de décoration oblige. Pour notre première journée on allé se la jouer cool avec découverte de la plage à proximité de notre résidence (env 10m) et petit tour de vélo à rétro-pédolage direction le plus gros village de l'île........(autant dire qu'il n'était pas énorme, car l'île comptait 2300 habitants au total) et la seule route qui la parcour est de 35km).
Partit à la recherche d'un repas du midi on s'est vite aperçu qu'il n'y avait pas grand chose, juste une petite superette où l'on acheta de quoi se supstanter. Heureusement qu'à notre Fare les dînners étaient toujours délicieux, fait maison avec les produits du pays. De plus, c'était toujours des moments de partages, car on mangait en communauté avec d'autres voyageurs.Tanto tu dînne en face d'une flic de Guyanne, tanto avec un couple ennuyeux ou un groupe d'ami allumé de Moorea. A Rurutu les activitées sont moindres surtout lorsque mère nature se déchaîne en pluie tropicale, ceci dit l'eau est limpide, les patates dans le lagon sont nombreuses et les paysages spendides. La plage horaire ici est 6h30 am -20h30 pm prêt à dormir! On en rigolé souvent car c'est en ces terres que l'on atteigna notre record.
Pour notre deuxième journée le sourire aux lèvres et la tiaré derrière l'oreille, nous visons Avera à pied pour midi. Sur le chemin à nôtre grande habitude, de longs arrêts rigolos et une fois arrivé après avoir longé toutes la baies aux recherches incessante de coquillages, nous avons fait la peau(la coquille) de quelques Bernard L'hermite.
Le lunch à était un doux moment dans l'unique snack du coin, avec au menu un seul choix. Ventre plein (d'air) on continua a vagabonder par la route traversière d'est en ouest.
Journée faite nous attendions le dînner avec grande impatience pour allé se coucher.
A notre troisième jours, (malgrè notre retissance pour les randos), on se mit en route pour une longue marche. L'objectif était de traverser l'île par les crètes pour arriver jusqu'au sud où l'on découvrit de magnifiques criques au sables blanc isolés et reprendre la route côtière en faisant du stop pour revenir au village principal. Ceci étant dit, durant ce périple on se fera surprendre plus d'une fois par des pluies tropicales, des chevaux sauvages plutôt énervé, une brume épaisse nous empêchant de prendre de jolies photos et bien sur l'estomac vide (juste deux ou trois bananes) en auto-digestion totale : Trop cool Rurutu!
Finalement, après 30 km de marche, affamé et trampé une vahiné nous ramena à notre Fare bien que l'on cru à un kidnapping durant quelques secondes. La résolution était d'utiliser le stop jusqu'à la fin de notre séjour, moins fatiguant et bien plus drôle ici.
Quatrième réveil, toute l'équipe de Moorea et des Moot Trooters était réunit au snack du village principal pour un Mahi Mahi avant de partir explorer les grottes du Monstre (fin si le guide veut bien nous rappeler). Repas pris nous voila partit avec un RéRé comme guide en tongue pour crapahuter les roches formés de coraux et de pierres volcaniques saillantes.
Ce fut une découverte magnifique, cette après-midi là releva la note du sejour à Rurutu. Dans la continuité, nous avons eu droit pendant le repas à de formidable légendes Polynésiennes contées par notre hôte d'acceuil qui y mit coeur, tonnalité et force pour nous faire comprendre l'histoire de ses ancêtres. Belle soirée.
Le dernier jour, s'organisera sous un temps pourri, quelques lectures en attendant le départ. Malheureusement notre avion aura 45 min de retard et notre chère Ambre devra nos attendre.
Une fois arrivé à Papeete, une soirée était déja organisée, douches prisent, nous voilà repartit pour le bar Uteute. Après quelques verres et avoir dansé, direction la discothèque le Paradise où l'on finira la soirée à 5 heures du matin.
Le lendemain 8h30, nous avions rendez-vous avec Valé et Gillou à l'embarcadère pour notre week-end de quatre jours à Moorea.Le rythme de Tahiti est très différent de celu des îles, avec Ambre ya pas de temps à perdre. Complètement à la bourre, arrivant de justesse pour notre bateaux, nous voilà partit pour le Fare Maeva. Endroit super cool, situé à proximité du Sofitel et donc de la magnifique plage de Temae, nous étions des rois. Petite après-midi plage, apéro en début de soirée et diné en communauté pour une nuitée plus que mérité.
Au programme de notre deuxième journée, tour de l'île avec les arrêts cultes tel que : Le belvédère évidemment, les plantations d'ananas, les baies, les Maraes, le Tiki village (Milou créa son paréo avec des teintes naturelles dont-elle est très fière et rencontreront un Polynésien au cul nu plutôt marrant). Nos bungalows étant côte à côte nous prenions nos repas et apéros ensemble surtout lorsque la météo était mauvaise, autour de bavardages, blagues et de doux moments partagés. Le soir petit resto en famille en se faisant dévoré par ces putains de moustiques affamés. Au dernier jour Gillou et Valé ont trocqué leurs bungalows primaire pour un Piloti de luxe au Sofitel que l'on profita un court moment. Nous visitons ainsi le Sofitel et surtout son restaurant le K au boiseries magnifiques où on squatta. Retour au ferry vers Papeete.