Ce soir nous allons dormir dans une crique magnifique, déserte à la belle étoile. Ont organise notre soupé et notre campement quand tout à coup un vieux en pick-up s'arrête pour taper la discute, mais le hic c'est qui pause des questions assez étrange et que surtout il a une gueule digne d'un grand film d'horreur. Milou continue à lui parler (il est 8h00 pm et il fait noir) tandis que Gui lui dit arrête tout c'est chaud, on se casse. Donc après s'être monté tout un scénario, ils nous devenaient impossible de dormir dans cet endroit pourtant magnifique et nous reprîmes la route à notre grand désespoir.
Nous continuons donc notre petite balade qui commencé à être assez longue, quand Gui repère sur un pt chemin avec un panneau"House Sale"et ce dit qu'on pourrais passer une petite nuit bien quosi kiwi mais elle resta introuvable. De retour au Camptar Milou ce cacha à l'arrière pour ne payer qu'une seule personne, pour le traversier du retour (malin les coquins), mais pas très discrète la Milou,bon fou rire c`est ça qui compte.
Toujours à la recherche d'une douche, notre seul job de la journée!Mais ici ça va de sois. (Car Milou s'impatiente au bout de deux jours et demie) mais nous ne savions pas si cela allé se concrétiser. Donc changement de technique ce soir Milou va rester caché dans le van, pendant que Gui demande dans un top 10 (En Français = camping) à combien est la douche pour ne payer que pour une personne ah ah!! Une fois le tour joué Guigui s'en vente bien et une petite soirée sympathique et surtout propre comme des sous neuf ce profilé à l'horizon dans cette petite ville d'OREWA BEACH que nous avions trouvé très cool à l'aller, donc nous y revoilà. Au menu Noodles en farandoles accompagné d'une fontaine de vin rouge (Empêche nous fada...)
Au réveil une pluie incessante, une mer agitée du tonnerre (Oh oui mère nature déchaîne toi nous ont aime ca!!), oeuf à la coque et j'en passe pour pt'dèj, bref là nous nous rendons bien comptes que la vie de roots étais quand même bien dure et pas toujours en in équation avec notre style ou humeur du jour mais c'est le jeu et ont s'en plein pas (Vive la vie). Repartit sur la route en mode requins pas un pour arrêter l'autre, évidemment j'ai envie de dire "chaud les marrons chaud" et pour autant y'en pas un des deux qui est foutu de savoir le jour ou l'heure à la quelle nous étions, mais no stress les Babas nous vivons aux rythmes de nos envies.
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